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Patrick Bruel - 2 faces > PB Chanteur > Les chansons de 1998 à 2000

J'ai rien à faire que des chansons
 
1998 à 2000 :
  [1982 à 1987] [1989 à 1992] [1994 à 1996] [2000 à 2002] [2002 (reprises)] [2003 à 2005] [2006 à 2007] [Espagnoles et italienne] [Traductions]


 

Sa raison d'être Plus de details / More details

Paroles et Musique Lionel Florence / Pascal Obispo
 
Traductions
La sua ragione di essere
What she lives for
Ihr Grund zu leben
Florent Pagny Elle en a vu de toutes les douleurs
Stéphan Eicher En est revenue de tant de combats
Patrick Bruel Elle a tellement tendu son coeur
Native Là où d'autres ont baissé les bras

Maurane Elle dit qu'après certains regards
Marc Lavoine Les mots deviennent dérisoires
Dominique Dalcan On fait les choses parce qu'elles s'imposent
Michel Delpech Sans se demander pourquoi

Ophélie Winter Ooohh C'est peut-être
Gérald de Palmas Oh peut-être
Teri Moïse Une goutte dans la mer
Ophélie Winter Ohh c'est peut-être
Anggun Oui peut-être
Tribal Jam Une goutte d'eau dans le désert
Francis Cabrel Oui mais c'est sa raison d'être
Elsa Sa raison d'être
Marc Lavoine Oui mais c'est sa raison d'être
Zazie Sa raison d'être

Johnny Hallyday Oh elle en a essuyé des yeux
Patricia Kaas Elle en a baissé des paupières
Jean-Jacques Goldman Oubliant même que le ciel est bleu
Lara Fabian A tant se pencher dans la poussière

Eddy Mitchell Elle dit qu'on peut toujours trouver
Princess Erika Oh des excuses pour ne pas bouger
Julien Clerc Elle, elle préfère encore se taire
Hélène Ségara Et faire ce qu'elle a à faire

Johnny Hallyday C'est peut-être
Eddy Mitchell Oh peut-être
Catherine Ringer Une goutte dans la mer
Johnny Hallyday Ouais c'est peut-être
Hélène Ségara Oooh
Native Une goutte d'eau dans le désert
Johnny Hallyday Oui mais c'est sa raison d'être
Eddy Mitchell Oui sa raison d'être
Johnny Hallyday Oooh yeah
Pascal Obispo Oui mais c'est sa raison d'être
Patricia Kaas Sa raison d'être
Stéphan Eicher Ohh c'est sa raison d'être
Lara Fabian Oooohhh
Zazie Sa raison d'être
Faudel Yeh Yeh Yeh Yeh Aaahh Aaahh Aahh
Florent Pagny Sa raison d'être
Catherine Lara (violon)
Tribal Jam Ohh sa raison d'être

Maxime le Forestier Oh elle en a brisé des silences
Axelle Red Poussé des cris contre des murs
Alain Chamfort Avec pour échos, l'indifférence
Alain Souchon Et des rancunes encore plus dures

Jane Birkin Car aujourd'hui, si l'existence ici
Axelle Renoir Ne se limite qu'à la survie
Kent Il faut savoir qu'une aile de papillon
Enzo Enzo Peut tout changer pour de bon

Julien Clerc C'est peut-être
Elsa Oui peut-être
Dominique Dalcan Une goutte dans la mer
Michel Fugain & Princess Erika C'est peut-être
Michel Delpech Oui peut-être
Anggun Une goutte d'eau dans le désert

Françoise Hardy C'est peut-être
Maxime le Forestier C'est peut-être
Françoise Hardy Une goutte dans la mer
Laurent Voulzy C'est peut-être
Une goutte d'eau dans le désert

Pascal Obispo Oui, oui mais c'est sa raison d'être
Alain Chamfort Sa raison d'être
Lara Fabian Ooohhh C'est sa raison d'être
Ophélie Winter Sa raison d'être
Lara Fabian Ooohhh
Julien Clerc Oui mais c'est sa raison d'être
Axelle Renoir Sa raison d'être
Michel Fugain Oui mais c'est sa raison d'être
Alain Souchon Sa raison d'être
Etienne Daho Oui mais c'est sa raison d'être
Catherine Ringer oh sa raison d'être
Florent Pagny Sa raison d'être
Patrick Bruel Oui mais c'est sa raison d'être
Ellie Medeiros Sa raison d'être
Maurane Oui mais c'est sa raison d'être
Jane Birkin Sa raison d'être
Jean-Jacques Goldman C'est sa raison d'être
Anggun Sa raison d'être
Faudel Sa raison d'être
Line Renaud Sa raison d'être...



 

Demain Plus de details / More details

Paroles et Musique Marie Florence Gros / Patrick Bruel
 
Traductions
Domani
Tomorrow
Morgen
Demain, c'était descendre l'Amazone
Demain, apprendre à parler portugais
Demain, replanter des iris jaunes
Demain, finir de peindre après l'été
Demain, elle avait tant de choses à faire
Sauter, de nuit, en parachute
Virtuose au violoncelle
Etre en lumière quelques minutes

Alors elle vit, elle rit, elle danse
Demain, elle verra bien
La couleur de la chance

Demain, elle voulait juste avoir le temps
Demain, d'apprendre à nager à Norbert
Demain, de lui montrer les éléphants
Demain, de lui dire qui est Gulliver
Demain, si elle pouvait sentir passer
Quelques rides sur son visage
Pouvoir dire "Je t'aime à jamais"
Et croire que c'est un long voyage

Alors elle vit, elle rit, elle danse
Demain, la regarde de loin
Et s'approche en silence

Demain, demain s'arrête un soir de mai
Demain, plutôt grand brun et très bavard
Demain, la lune était rouge et mouillée
Et lui, lui il avait les yeux très noirs
Demain, il l'a serrait si tendrement
L'amour riait avec la mort
Si fort qu'elle, elle en a gardé
Pour toujours les deux dans le corps

Pourtant elle rit, elle vit, elle danse
Demain, elle verra bien
La couleur de la chance

Demain, mais c'est déjà passé demain
Demain, les iris et la peinture bleue
Demain, Norbert aura 5 ans en juin
Pour lui, elle ouvre grand les yeux
Demain, surtout, surtout pas dormir
De peur de rater un matin
De laisser quelques heures s'enfuir
De peur de rêver à demain

Alors elle rit, elle vit, elle danse
Demain, elle sait trop bien
La couleur de sa chance

Mais tant qu'elle vit, elle rit, elle danse
Demain la regarde de loin
Et s'approche en silence
Et s'approche en silence



 

J'te mentirais... Plus de details / More details

Paroles et Musique Patrick Bruel
 
Traductions
Ik zou tegen je liegen...
I'd lie to you...
Ti mentirei...
Ich würde Dich anlügen
Becsapnálak
J'te mentirais
Si j'te disais qu' j'y ai pas pensé
Si j'te disais qu' j'ai pas voulu
Retenir le nom de sa rue
Si j'te disais,
Mon amour, que j'ai rien senti,
Rien entendu de ces non-dits
Qu'à ses silences, j'ai pas souri
J'te mentirais
J'te mentirais

Vite, je tombe
Est-ce que tu m' regarderas ?
Est-ce que tu seras en bas
Pour m'emmener là où je n' sais pas
Là où je n' vais pas ?
Alors, vite, je tombe
Comme un pantin sans fil
Trop libre et trop fragile
Je cherche ta main dans les nuages
Pour chasser son image

J'te mentirais
Si j'te disais au fond des yeux
Que tes larmes ont tort de couler
Que cette fille ne fait que passer
J'te mentirais
Et pourtant moi, j' me suis menti
De nous croire tellement à l'abri
De nous voir plus fort que la vie
Mais ces choses-là
On ne les sait pas

Vite, je tombe
Est-ce que tu seras en bas ?
Est-ce que tu m'attendras
Pour m'emmener là où je n' sais pas,
Pour me ramener vers toi ?
Alors, vite, je tombe
Comme un pantin sans fil
Notre histoire qui défile
Je cherche ta main dans les nuages
Pour pas tourner la page

J'te mentirais
Mais à qui d'autre pourrais-je le dire
Sans cette fois vraiment te trahir ?
Le silence est parfois pire

Vite, je tombe
Est-ce que tu seras en bas ?
Est-ce que tu m'ramasseras
Pour m'emmener là où je n' sais pas,
Pour me rammener vers toi ?
Alors, vite, je tombe
Comme un oiseau voleur
Touché là, en plein coeur
Et qui se demande encore pourquoi
Il est passé par là.



 

Juste avant Plus de details / More details

Paroles Patrick Bruel et Marie-Florence Gros * Musique Patrick Bruel
 
Traductions
Vlak voor
Right Before
Appena prima
On s'est réveillé en avance
Pour pas rater la première danse
Celle où tout est encore fragile
On ne sait rien de ces urgences
Qui nous font perdre la cadence
Qui font les rêves difficiles

On est debout
Au bord d'un drôle de monde qui appareille
Pour aller où ?
Vers quelles batailles, vers quels nouveaux réveils ?

Laisse ta main dans la mienne
Laisse ton coeur se serrer
Combien reste de temps
Juste avant
Que le vent nous entraîne
Que tout vienne à changer
On y va, on y est
Juste avant
Combien reste de temps
Juste avant

Qui dansera encore sous la pluie ?
Pour faire sourire les gens assis
Sortir les loups de leurs abris
Faire pâlir ces types énervés
Qui hurlent très fort leurs idées
A des tas de gens prêts à marcher

Qui prendra le temps
D'aimer les choses trop simples pour en parler
On est tellement
A s' demander où tout va basculer

Laisse ta main dans la mienne
Laisse ton coeur se serrer
Combien reste de temps
Juste avant
Que le vent nous entraîne
Que tout vienne à changer
On y va, on y est
Juste avant
Combien reste de temps...

Plus loin, est-ce qu'il y aura des oranges
Des enfants, des jupes blanches ?
Des jardins comme tu les dessinais ?
Et du temps, du temps pour aimer ?

Laisse ta main dans la mienne
Laisse ton coeur se serrer
Combien reste de temps
Juste avant
Que le vent nous entraîne
Que tout vienne à changer
On y va, on y est
Juste avant
Combien reste de temps
Juste avant

Juste avant...
Que le vent nous entraîne
On y va, on y est
Juste avant




 

Pour la vie Plus de details / More details

Paroles et Musique Gérard Presgurvic
 
Traductions
Voor het leven
For live
Per la vita
Für das Leben
Az életre
On est parti, c'était fin juin
S'est embrassé, serré la main
Un pour tous et tous pour un
Et puis chacun a pris son train

On avait tous aussi peur
On s'est juré la main sur l' coeur
Qu'on s' reverrait avant 10 ans
On s'est revu et maintenant

De temps en temps, on s'invite
Même si, souvent, on s'évite
On s' dit, bien sûr, j' m'en souviens
Mais on s' rappelle de moins en moins

Ca n' nous a pas rendus amers
On sait bien qu'on n' peut rien y faire

C'est la vie, c'est la vie
C'est la vie qui nous change
Et qui dérange
Toutes nos grandes idées sur tout

C'est la vie, c'est la vie
C'est la vie qui décide
Et qui nous file des rides
Au coin des yeux et du coeur

A quoi ça sert d'aller contre
On perd son temps
Et quand on r'garde à nos montres
Tout à coup, on comprend

Y'en a qui ont fait des enfants
Y'en a d'autres qui ont dit "J'attends"
On a tous aimé des femmes
On s'est tous trouvé du charme

On est tous dev'nu quelqu'un
Dans son quartier ou plus loin
Bien sûr, on s'est perdus d' vue
Mais on n'appellait pas ça "perdu"

On s'est traité d' tous les noms
On s'est tombé dans les bras
On a pas osé dire "non"
On a dit "oui" quand fallait pas

Ca n' nous a pas empêché
De continuer à s'aimer

Pour la vie, pour la vie
Pour la vie qui nous change
Et qui dérange
Toutes nos p'tites idées sur tout

Pour la vie, pour la vie
Pour la vie qui décide
Et qui nous file des rides
Au coin des yeux et du coeur

Pas besoin de faire semblant
Ca sert à rien
Chaque jour qui passe on apprend
Qu'on peut jouer sans être comédien

A quoi ça sert d'aller contre
Ca sert à rien
Chaque jour qui passe, on apprend
Qu'on suit tous le même chemin



 

Tout s'efface Plus de details / More details

Paroles et Musique Patrick Bruel
 
Traductions
Alles verbleekt
Tutto si cancella
Je vais t'attendre au coin d' la rue
A l'heure où les lumières s'éteignent
Quand tu auras trop dansé, trop bu
A l'heure où ne restera plus
Que mon bras pour poser ta peine
On partira ensemble, une fois de plus

Tu m'embrasseras comme je déteste
Avec cette tendresse que tu mets si bien
Entre toi et moi
Bien sûr que le temps a passé
Que notre histoire est terminée...
Peut-être, mais peut-être pas pour moi

Même si je sais que tout s'efface
Tu restes là et rien ne passe...
Tu m'aimes bien. Je t'aime, tout court
La différence s'appelle "l'amour"

Trois tours de périph', fenêtre ouverte
J' vois passer c' qu'on aurait pu être
Oui, je t'en veux, mais moins qu'à moi
Et puis, pourquoi m'avoir rappelé ?
Pourquoi revenir me chercher ?
Pour te voir rire, te voir pleurer sans moi...

Tu veux pas d' moi, tu veux pas m' perdre
Alors ce choix, je le fais pour toi
C'est moi qui pars

Même si je sais que tout s'efface
Tu restes là et rien ne passe...
Tu m'aimes bien. Je t'aime, tout court
La différence s'appelle "l'amour"

Même si je sais que tout s'efface
Tu le disais "chacun sa place"
Tu m'aimes bien. Je t'aime, tout court
La différence s'appelle "l'amour"

Laisse-moi venir de temps en temps
Laisse-moi me dire qu' c'est comme avant...
Laisse-moi partir, même si je mens
Laisse-moi me dire qu'avec le temps...

Même si je sais...
Même si je sais...
Même si je sais...



 

3 ans et demi d'amour Plus de details / More details

Paroles Patrick Bruel et Marie-Florence Gros * Musique Patrick Bruel
 
Traductions
Three and a half years of love
3 en een half jaar liefde
3 anni e mezzo d'amore
Dreieinhalb Jahre Liebe
Elle, à sa fenêtre
Lui, assis au bord du lit
Elle pleure peut-être
Lui n'a pas compris
Elle a fait son sac dans un dernier sourire
Puis rassemblé en vrac ses souvenirs
Elle sait qu' la nuit est lourde et qu'il est tard
Lui, il sait qu'elle part ce soir

Elle emmène
3 ans et demi d'amour et quelques semaines
Pas l' temps pour des discours, mais pas de haine
On s' reverra un jour, ça vaut la peine

Lui, dans un ciné
Elle saute dans un taxi
Lui le coeur blessé
Elle commence sa vie
Il la revoit perdue, la môme d'hier
Si belle, elle qui croyait pas savoir plaire
Elle court glisser ses rêves dans d'autres nuits
Il se perd dans d'autres lits

Elle emmène
3 ans et demi d'amour et quelques semaines
Dans chaque histoire qui passe et qui l'entraine
Vers des matins qui n'en valent pas la peine

Il emmène
3 ans et demi d'amour et quelques semaines
Qui s'accrochent à lui, qui se souviennent
Elle repassera un jour, ça vaut la peine

Lui mange des cerises
Elle a usé ses valises
Elle caresse un porte-clé vide, sourit peut-être
Il dort la porte ouverte

Elle emmène
3 ans et demi d'amour... qu'à cela ne tienne
3 ans et demi, ce matin, qui reviennent
Dans un train pour Paris qui la ramène

Il l'emmène
Pour un peu plus d'amour et quelques semaines
Pas l' temps pour des discours, mais tout s'enchaîne
Vivre l'un sans l'autre, ça valait pas la peine

Il l'emmène
Pour un peu plus d'amour et quelques semaines
Pas l' temps pour des discours, mais tout s'enchaîne
Vivre l'un sans l'autre, ça valait pas la peine



 

Peur de moi Plus de details / More details

Paroles Marie-Florence Gros * Musique Patrick Bruel
 
Traductions
Bang voor mezelf
Afraid of myself
Paura di me
Angst vor mir
Il y a
Dans mes refus de te dire "Je t'aime"
Plus d'amour que dans les poèmes
Et que dans tout ces mots-là
Si tu vois
Flotter une larme bohème
Dans mes yeux, mon coeur s'y promène
C'est qu'alors je pense à toi

C'est comme ça
Le bonheur n'est pas géomètre
J'ai pas de plan à te soumettre
Je sais pas le faire marcher droit
M'en veux pas
Si je ne peux rien te promettre
C'est que je voudrais tout, peut-être
Mais ça ne me suffirait pas...

Pas à pas
Je parle à tâtons et j'effleure
Tout ces mots qui reprennent couleur
Comme je les pose sur toi
Et je vois
Les rêves qui hésitent encore
Prendre la forme de ton corps
Et je souris malgré moi

Jusque là
Je croyais à peu près me connaître
J'ai tout jeté par ta fenêtre
Pour mieux m'apprendre dans tes bras
M'en veux pas
Si je ne sais rien te promettre
A part dans ces phrases muettes
Que je vagabonde sur toi

Laisse-moi le temps de t'aimer
Sans penser au-delà
Tu me souris et tu te tais
Mais tu ne comprends pas
Laisse-moi le temps de trouver
L'empreinte pour mes pas
A force de t'avoir cherchée
J'ai un peu peur de moi

Peur de moi
Est-ce que ce n'est pas autre chose ?
Tu m'aprivoises et je dépose
Mes ombres fanées derrière moi
Peur de quoi ?
Peur de l'avenir qui se glisse
Entre ma peau et mes caprices
Quand je me perds au bord de toi

Peur de quoi ?
Tout simplement de reconnaître
Que tout est là dans ces "peut-être"
Qui me chavirent autour de toi
Peur de moi
Il n' y a rien d'autre à comprendre
Toi tu voulais des mots plus tendres
Et moi... je te parle de moi

Il y a
Dans mes refus de dire "je t'aime"
Plus d'amour que dans les poèmes
Et que dans tous ces mots-là

Et que dans tous ces mots-là...



 

Elle voulait tout Plus de details / More details

Paroles Patrick Bruel et Marie-Florence Gros * Musique Patrick Bruel
 
Traductions
Zij wilde alles
She wanted everything
Lei voleva tutto
Elle est venue s'assoir, là, juste en face de moi
Etait-ce par hasard ? Elle m'a dit "je n' crois pas"
Avec ses grands yeux noirs, plantés au fond des miens
Elle m'a pris par le bras, m'a dit "jusqu'à demain"
J'ai suivi sans rien dire, elle savait où aller
Dans les ruelles en couleurs, on a tout vu, tout fait
Elle visitait mon coeur, j'ai même pas su son nom
Un taxi, une adresse, j'ai pas posé de question
Pas question...

Elle voulait tout, jusqu'à demain
Elle voulait tout, jusqu'au matin
C'était tout, tout d' suite, tout ou rien
Pas question de chercher plus loin
Une belle histoire qui passe
On la prend comme elle vient

Les cloches sonnaient midi, j' me retourne, j' tends la main
Je n' sens qu'un oreiller, j'embrasse plus qu'un parfum
J' l'avais pas vue venir, j' l'ai pas vue s'en aller
J'ai eu envie de rire, j'y suis pas arrivé
A l'arrivée...
Elle m'avait tout volé, pourtant elle n'a rien pris
J'aurais p't-être préféré, au moins j'aurais compris
La chambre était réglée, on m' l'avait jamais fait
J'ai essayé d' pleurer, j'y suis pas arrivé
Et puis après...

Elle voulait tout, jusqu'à demain
Elle voulait tout, jusqu'au matin
C'était tout, tout d' suite, tout ou rien
Et pas question d'aller plus loin
Une belle histoire qui passe
On la prend comme elle vient

Hasta mañana, y dónde vas
(A demain, et où vas-tu)
Hasta mañana, y nada más
(A demain, et rien de plus)
La chica nunca mira atrás
(La fille ne regarde jamais en arrière)
Arrebatando tu pensar
(Arrachant ta pensée)
Y tu te quedas con el sol, y nada más
(Et toi, tu restes avec le soleil, et rien de plus)


Repartir au matin, un souvenir en poche
Sans un mot, sans un lien, surtout rien qui s'accroche
Moi aussi, j'ai déjà, bien sûr, dû faire comme elle
Arriver pour la nuit, y croire, la trouver belle
La trouver belle...
Moi aussi... et pourtant, si j' la croisais ce soir
Je saurais empêcher que le jour nous sépare
Et quand j'arpente, la nuit, les rues décolorées
Je cherche ses yeux noirs dans les ombres pressées
Trop pressées...

Elle voulait tout, jusqu'à demain
Elle voulait tout, jusqu'au matin
C'était tout, tout d' suite, comme ça vient
Et pas question d'aller plus loin
Une belle histoire qui passe
Et me prend tout pour rien

Elle voulait tout, jusqu'à demain
Elle voulait tout, jusqu'au matin
C'était tout, tout d' suite, comme ça vient
Et pas question d'aller plus loin
Une belle histoire qui passe
On la prend comme elle vient



 

Elie Plus de details / More details

Paroles Patrick Bruel * Musique David Moreau
 
Traductions
Elie
Elie
Elia
Elie
Il t'a regardé, puis il m'a souri
Depuis si longtemps, il n'avait rien dit
Y avait presque un siècle qui vous séparait
Le long de sa joue, une larme coulait
Il t'a pris au bout de ses bras
Dans un éclat de rire
Toi, bébé, tu as pris son doigt
Comme pour le retenir

Puis il t'a parlé de cette vie passée
Il t'a raconté la tienne qui commençait
Toutes tes colères
Toutes tes peines, tes joies
Tes plus belles guerres
Celles que l'on n' gagne pas

Et puis ses yeux se sont posés
Doucement sur chacun
Et chacun de nous y lisait
Quelques mots pour demain...

Vivre pour pouvoir revivre
C'est là ton seul devoir
Celui de dire pour rester libre
Celui de ta mémoire


(que survivent en eux mon nom
et le nom de mes ancêtre, Abraham et Isaac,
qu'ils croissent et multiplient sur la terre
[Génèse 48/16])


Ses yeux chantaient, merci, merci
J'ai plus peur de partir

Et puis vient Céline
Celle qu'il aimait tant
Elle n'aimait que lui
Depuis soixante-deux ans
Il la regardait
Pas besoin de mots
Ses yeux lui disaient
Ne tarde pas trop...



 

Nunca mas Plus de details / More details

Paroles Patrick Bruel et Marie-Florence Gros * Musique David Moreau
* En duo avec Nilda Fernandez *
 
Traductions
Mai piu'
Dignes, belles
Elles tournent sur elles-mêmes
Les rides creusées
Les larmes n'ont pas sêché
Elles dansent sans bruit
Leurs enfants disparus
Disparus dans la nuit
Leurs enfants perdus
Sur les terres de Piazzolla
Muets sont les poètes
A moins de parler bas
Mais, dans le clair-obscur
A l'heure de tous les rêves
Soudain, une voix s'élève...

Nunca más
(jamais plus)
Nunca dormir, y nunca dejar olvidar
(ne jamais dormir, et ne jamais laisser oublier)
Bailar al viento que los desaparecio...
(danser au vent qui les a disparus)
La sangre nunca acaba de gritar
(le sang ne cesse jamais de crier)
El viento siempre acaba por cambiar
(le vent finit toujours par tourner)


Folles, elles dansent
Elles ont vaincu l'oubli
Elles savent la force
Qui jamais ne les trahit
L'histoire est lente
Mais elles la font tourner
Ce soir, elles chantent
Les diables sont jugés...

Nunca más
Nunca dormir, y nunca dejar olvidar
Bailar al viento que los desaparecio...
La sangre nunca acaba de gritar
El viento siempre acaba por cambiar


Nunca más
Nunca dormir, y nunca dejar olvidar
Bailar al viento que los desaparecio...
La sangre nunca acaba de gritar
El viento siempre acaba por cambiar

Nunca más
Nunca dormir, y nunca dejar olvidar
Bailar al viento que los desaparecio...
La sangre nunca acaba de gritar
El viento siempre acaba por cambiar

Nunca más
Nunca dormir, y nunca dejar olvidar
Bailar al viento que los desaparecio...
La sangre nunca acaba de gritar...



 

Au café des Délices Plus de details / More details

Paroles Felix Gray * Musique Patrick Bruel et Felix Gray
 
Traductions
At the "Cafe des Delices" (Delights' Cafe)
Al Caffe delle Delizie
Im café der Freude
Ó, Café des Délices
Tes souvenirs se voilent
Ca fait comme une éclipse
Une nuit pleine d'étoiles
Sur le port de Tunis
Le vent de l'éventail
De ton grand-père assis
Au Café des Délices

Tes souvenirs se voilent
Tu vois passer le tram
Et la blancheur des voiles
Des femmes tenant un fils
Et l'odeur du jasmin
Qu'il tenait dans ses mains
Au Café des Délices

Yalil yalil abibi yalil, yalil yalil abibi yalil
Yalil yalil abibi yalil, yalil yalil (abibi) yalil

Tes souvenirs se voilent
Tu la revois, la fille
Le baiser qui fait mal
A Port El Kantaoui
Les premiers mots d'amour
Sur des chansons velours
Abibi, abibi

Tes souvenirs se voilent
Tu les aimais ces fruits
Les noyaux d'abricots
Pour toi, c'étaient des billes
Et les soirées de fête
Qu'on faisait dans nos têtes
Aux plages d'Hammamet

Yalil yalil abibi yalil, yalil yalil abibi yalil
Yalil yalil abibi yalil, yalil yalil abibi yalil
Yalil yalil abibi yalil, yalil yalil abibi yalil
Yalil yalil abibi yalil, yalil yalil (abibi) yalil

Tes souvenirs se voilent
A l'avant du bateau
Et ce quai qui s'éloigne
Vers un monde nouveau
Une vie qui s'arrête
Pour un jour qui commence
C'est peut-être une chance

Yalil yalil
Tu n'oublieras pas
Yalil yalil
Ces parfums d'autrefois
Yalil yalil
Tu n'oublieras pas
Yalil yalil
Même si tu t'en vas

Yalil yalil abibi yalil, yalil yalil abibi yalil
Yalil yalil abibi yalil, yalil yalil abibi yalil
Yalil yalil abibi yalil, yalil yalil abibi yalil

Yalil yalil
Une nuit plein d'étoiles
Sur le port deTunis
Et la blancheur des voiles
Des femmes tenant un fils
Le vent de l'éventail
De ton grand-père assis
Et l'odeur du jasmin
Qu'il tenait dans ses mains
Au Café des Délices

abibi yalil, yalil yalil abibi yalil
Yalil yalil abibi yalil, yalil yalil abibi yalil
Au Café des délices
abibi yalil, yalil yalil abibi yalil
Au Café des Délices
abibi yalil, yalil yalil abibi yalil
Yalil yalil abibi yalil, yalil yalil abibi yalil

"l'expression "Yalil Yalil Habibi Yalil" est une expression d'introduction que l'on utilise généralement dans chaque chanson arabe.
Littéralement, ceci signifie "O Nuit, O Nuit, Mon Amour, O Nuit" mais je pense que c'est intraduisible en réalité.
Enfin ceci dit c'est une expression typique des chants d'amour orientaux !!"
(source http://www.freelang.com/)




 

Au bout de la marelle Plus de details / More details

Paroles Marie-Florence Gros * Musique Patrick Bruel
 
Traductions
Aan het eind van het hinkelspel
At the end of the hopscotch
Alla fine della settimana
Un
Ca commence comme un rêve
Un premier rire, un rien
Ton regard qui se lève

Deux
On est déjà plus forts
A 4 mains, bien sûr
On joue d'autres accords

Trois
Entre nous deux, tu glisses
Un berceau plein de lune
Une envie qui hésite

Quatre
La valse irrégulière
On cherche la mesure
Pour un temps, on s'y perd

Mais au bout de la marelle
On n' sait pas c' qu'on verra
Elle nous paraît si belle
D'en bas
A cloche-pied vers le ciel
A pieds joints, toi et moi
On tombe ou on avance d'un pas
On y va

Cinq
Sur toi, la main posée
Te protège et m'invite
A ne pas trop douter

Six
Semaines sans te voir
Première déchirure
Faut-il toujours savoir ?

Sept
Vies à vivre ensemble
Est-ce qu'on joue assez juste
Pour qu'elles nous ressemblent ?

Huit
En haut de cette échelle
C'est écrit à la craie
Huit lettres pour "Jeu t'aime"

Mais au bout de la marelle
On verra c' qu'on verra
Elle nous paraît si belle
Comme ça
A cloche-pied vers le ciel
A pieds joints, toi et moi
Et surtout pas r'garder en bas
Surtout pas

Bien sûr, on sait qu'un jour
La pluie pourrait tomber
Mais la pluie, c'est peu dire, alors...
On s'est r'gardés
Un rayon de soleil
Se pointe au coin d' la rue
Un sourire, un éclair, alors...
On continue !

Neuf
Mois pour lui choisir
Un prénom, un ou une
Neuf mois pour devenir...

Une
Autre vie d'autres mots
Pour quelques boucles brunes
Tout repart à zéro

Mais au bout de la marelle
On sait pas c' qu'on verra
Elle nous paraît si belle
Comme ça
A cloche-pied vers le ciel
A pieds joints, on y va
A trois, on r'gard'ra pas en bas
Surtout pas

Au bout de la marelle
On verra c' qu'on verra
Elle nous paraît si belle
Comme ça
A cloche-pied vers le ciel
A pieds joints, on y va
On tombe ou on avance d'un pas
On y va

Un, deux, trois...



 

Une chanson qui sert a rien Plus de details / More details

Paroles Patrick Bruel * Musique David Moreau
 
Traductions
Een lied dat nergens toe dient
A song that doesn't serve anything
Una canzone che non serve a niente
piosenka do niczego
J'avais envie de te parler
Ce soir, j'ai pas osé bouger
Juste quelques mots, juste quelques notes
Des mots idiots, c'est pas ma faute
Regarde-moi un peu ce soir
Dis-moi, dis... Qu'est-ce que tu vois ?

Est-ce que ma voix te dit ce qu'elle veut
Quand les lumières s'éteignent un peu
On partira sûrement un jour
Est-ce que tout ça serait pas l'amour ?
On vit comme ça, ou alors on n' vit pas
Dis-moi, dis... Qu'est-ce que tu vois en moi ?
Dis-moi...

Voila une chanson
Qu'on chantera à l'unisson
Et qu'on aimera juste bien...
Une chanson qui sert à rien
Derrière ses grands yeux, qu'est-ce qu'il y a ?
Est-ce qu'à nous deux on y arrivera ?
Au fond d' ce coeur, dis-moi c' qui bat ?
De toutes nos erreurs, laquelle vivra ?
Dis-moi qu' le monde vaut sûrement mieux que ça
Que chaque seconde brûle en toi, en moi...
En moi...

Voila une chanson qu'on chantera à l'unisson
Qu'on aimera juste bien...
Une chanson qui sert à rien
A part pour t'écrire
Tout ce que j'ai pas su te dire
Tout ces mots qui restent en l'air
Et nous regardent comme une prière

Que voyais-tu ce matin-la?
Quand tu t'es retournée vers moi
Pas un seul mot, pas une seule note
Alors, idiot, j'ai fait la faute

Est-ce que tu crois qu'on s'aimera toujours ?
Toi, t'as eu peur d' la question sans retour...
C'est une chanson qu'on aimait bien
Est-ce que tu crois qu'elle sert à rien ?



 

Voleur de temps Plus de details / More details

Paroles Patrick Bruel et Marie-Florence Gros * Musique Patrick Bruel
 
Traductions
Dief van de tijd
Ladro di tempo
Un verre, une nappe, je dessine ton sourire
J'attends dans ce bar où tu m'as fait venir
J'ai mal, si mal, jusqu'à plus rien sentir
Et toi, et toi ?

Tu marches ailleurs parce que tout te fait rire
Ma vie, ta vie, étrange manière de fuir
Vers où ? Vers quoi ? Ces ombres où tu te noies
Et moi, et moi

Moi, je vois le temps voler nos vies
Ce temps qu'on a perdu
Qui pourtant nous poursuit
Ce temps qui vole petit à petit
Les jours où tu ne sais plus
Les soirs où tu t'enfuis
Même si j'ai peur de te revoir,
J' veux pas laisser cette nuit
Tomber sur notre histoire

En fait, j'enrage de si mal te connaître
Qu' tu mettes un voile à chacune de tes fenêtres
Je pleure de voir ces gestes que l'on oublie
Pourquoi ? Pour rien. Quel gachis !

Tu hésites, je t'attends
Au bout de cette impasse
Tu hésites, je comprends
J' comprends

Mais je vois le temps voler nos vies
Ce temps qu'on a perdu
Qui déjà nous poursuit
On est là deux idiots en sursis
Les jours où je ne sais plus
Les soirs où tu t'enfuis

Même si j'ai peur de te revoir
J' veux pas laisser cette nuit
Tomber sur notre histoire

Même si j'ai peur de tout savoir
Je laisserai pas nos vies
Endormir notre histoire

J'attends dans c' bar où tu m'as fait sourire...



 

Voulez vous Plus de details / More details

Paroles Daniel Tardieu * Musique Richard Lable
 
Traductions
Would you like
Volete
Dans ma poitrine, à cause de vous
J'ai l' coeur qui bat tout fou, tout fou
J'ai des frissons, et si ça s' trouve
C'est maladie d'amour que j' couve
J' dis pas ça en plaisantant
Mais, depuis vous, y'a rien d'important
J' tourne en rond et j' me répète
Tout c' qu'il y a d'écrit dans ma tête

Voulez-vous
Du même chemin, qu'on fasse un bout ?
Voulez-vous
De la porte, qu'on pousse le verrou ?
Voulez-vous ?
Si c'était d'accord entre nous
Si c' que j'vous dit, ça tient debout
Si y'a d' l'amour pour moi, en vous
Voulez-vous
Qu'on fasse notre musique et qu'on la joue ?

Quand l' soleil s'éteint derrière moi
Je n' sais plus quoi faire de moi
J'ai toute la nuit à traverser
Le coeur brûlant comme du café
J'écrirais pas cette chansonnette
Si j'avais moins d' folie dans la tête
J' ferais pas du va-et-vient partout
Si j'avais juste un "oui" de vous

Voulez-vous
Du même chemin, qu'on fasse un bout ?
Voulez-vous
De la porte, qu'on pousse le verrou ?
Voulez-vous ?
Si c'était d'accord entre nous
Si c' que j' vous dis, ça tient debout
Si y'a d' l'amour pour moi, en vous
Voulez-vous
Qu'on fasse notre musique et qu'on la joue ?

Voulez-vous
tou tou...
Qu'on fasse notre musique... et qu'on la joue ?
Palala...



 

A cause d'elle

Paroles M-F Gros et Patrick Bruel * Musique David Moreau
 
Traductions
A cause d'elle
J'ai changé de parfum, de tableaux,
A cause d'elle
J'ai cassé les chaînes de mon vélo

Dans ses ailes, j'ai posé
Mes années de querelles
Je m'envole, Oui je vole,
Vers elle

Je me souviens d'un homme à la mer
Qui était-il avant elle ?
Un naufragé, un voleur de sirènes,
Juste un "presqu'il" avant elle

A cause d'elle
J'ai l'automne qui rit dans mon piano
A cause d'elle
J'ai tremblé, j'ai joué un peu faux

Envie d'elle, est ce qu'on sait ? (ou "est-ce qu'on s'aime" ?)
Plus peur, plus peur, d'être fidèle
Je m'envole oui je vole
dans ses ailes

Et elle, elle se souvient d'un homme à la mer
Qui était-il avant elle ?
Un naufragé, un voleur de sirènes,
Juste un "presqu'il" avant elle

Je me souviens d'un autre moi-même
Qui était-il avant elle ?
Un exilé sur des terres incertaines
Juste un "presqu'il" avant elle

Je me souviens
(musique)

Je me souviens d'un autre moi-même
Qui était-il avant elle ?
Un exilé sur des terres incertaines
Juste un "presqu-il" avant elle

Je me souviens


Note : La publication de textes sur ce site n'a aucun but commercial. Il s'agit simplement de rendre hommage à leurs auteurs et interprètes. Si la présence d'un de ces textes vous pose problème, n'hésitez pas à me le signaler. Je le retirerai, avec regrets, le plus rapidement possible.

dernière mise à jour 04/02/2013
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